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http://dspace1.univ-tlemcen.dz/handle/112/9139
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Élément Dublin Core | Valeur | Langue |
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dc.contributor.author | RABAH, Bochra | - |
dc.contributor.author | BAHBAH, Leyla | - |
dc.date.accessioned | 2016-12-07T10:08:21Z | - |
dc.date.available | 2016-12-07T10:08:21Z | - |
dc.date.issued | 2016-06-01 | - |
dc.identifier.uri | http://dspace.univ-tlemcen.dz/handle/112/9139 | - |
dc.description.abstract | Le recours à la phytothérapie est fréquent en Afrique et notamment en Algérie. Cette pratique est transmise oralement et de manière rituelle. L’objectif de cette étude est de déterminer la fréquence de patients diabétiques hospitalisés ou consultant au niveau du service de médecine interne, CHU Tlemcen, qui ont recours à la phytothérapie et de recenser les plantes médicinales les plus utilisées pour traiter le diabète. Il s’agit d’une étude descriptive transversale, intéressant 306 patients diabétiques dont 67 % des femmes. Ces patients sont âgés de 16 à 88 ans avec une moyenne d’âge de 58 ans. La moitié des diabétiques étaient déséquilibrés (51,6%) avec une HbA1c >7 %, les complications macro vasculaires et micro vasculaires étaient présentes dans 62% des cas. Parmi les diabétiques de la population étudiée, 105 patients soit 34 % utilisaient les plantes médicinales en association avec le traitement médical prescrit, 90 % des utilisateurs étaient atteints du diabète de type II. 35 plantes médicinales les plus utilisées sont : Origanum vulgare (Origan) avec 5,6 % des cas, Olea europaea (Olivier) avec 3,9 % des cas, Lavandula stoechas (Lavande stéchade) avec 2 % des cas, de même, la majorité des préparation des plantes médicinales antidiabétiques étaient des décoctions de feuilles, des effets secondaires liés à l’utilisation des plantes ont été rapportés chez 15,8 % des patients. En comparant deux groupes de patients, utilisateurs et non utilisateurs des plantes médicinales, on a constaté que le recours à la phytothérapie était plus marqué chez les femmes (77%), de même, il n’y avait une association entre hypertension artérielle et la survenue de la microangiopathie chez le même groupe. Cependant, chez les patients qui n’utilisaient pas les plantes médicinales, on a trouvé une différence statistiquement significative (p=0.003) entre l’équilibre glycémique et la survenue de la microangiopathie. En conclusion, le recours à la phytothérapie est étroitement lié au sexe féminin et l hypertension artérielle est un facteur modulant le risque de complications chez les deux groupes, de même le déséquilibre glycémique constitue un facteur de risque de la microangiopathie chez les non utilisateurs, de ce fait, on peut considérer que la phytothérapie est un facteur protecteur contre la survenue de ce type de complication. | en_US |
dc.language.iso | fr | en_US |
dc.subject | équilibre glycémique, complications, diabète, médecine interne, phytothérapie, Tlemcen. | en_US |
dc.title | UTILISATION DES PLANTES MÉDICINALES CHEZ LES DIABÉTIQUES AU SERVICE DE MÉDECINE INTERNE DU CHU TLEMCEN | en_US |
dc.type | Thesis | en_US |
Collection(s) : | Rapport du Stage Pharmacie |
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UTILISATION-DES-PLANTES-MEDICINALES-CHEZ-LES-DIABETIQUES-AU-SERVICE-DE-MEDECINE-INTERNE-DU-CHU-TLEMCEN.pdf | 4,32 MB | Adobe PDF | Voir/Ouvrir |
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