أثرالموارد الطبيعية على النمو الإقتصادي دراسة حالة البترول في الجزائر

Abstract

: إن التناقض الذي يغلب على حال معظم الدول الغنية بالموارد الطبيعية بشكل عام والبترولية بشكل خاص، والذي يتمثل في وفرة الثروات الطبيعية مع ضعف في الأداء الاقتصادي، مقارنة مع بلدان فقيرة من حيث الموارد الطبيعية أو حتى غنية بالموارد، شكل لغزا حير علماء الاقتصاد لفترة من الزمن، إلا أن معظم الدراسات والبحوث التي أجريت مؤخرا في هذا الميدان أثبتت أن السبب في تفاوت نسب النمو يعزى إلى ما يعرف بظاهرة "مفارقة الوفرة" أو "لعنة الموارد الطبيعية". وفي دراستنا هذه، سنحاول اختبار فرضية لعنة البترول في الاقتصاد الجزائري بالاعتماد على نموذج تصحيح الخطأ ونماذج الانحدار الذاتي ذات المتجه وذلك باستخدام بيانات سنوية للفترة 1970-2012. تشير نتائج الدراسة التطبيقية إلى أن دورية السياسة المالية هي نتيجة لضعف الإطار المؤسساتي وانتشار الفساد، كما أن نظرية العلة الهولندية لا تنطبق على اقتصادنا وإنما توجد بعض الأعراض فقط، وتوصلنا إلى أن الأثر السلبي لتطاير أسعار البترول على النمو الاقتصادي يعوض الأثر الإيجابي لوفرة البترول، وبالتالي نستنتج أن تطاير أسعار البترول وضعف الإطار المؤسساتي للدولة هو الذي يدفع الظاهر المتناقض للعنة الموارد الطبيعية في الجزائر وليس وفرة البترول بحد ذاته. ويكمن الحل في تبني إستراتيجية للتنويع الاقتصادي من خلال بناء قطاع خاص نشط يساهم في خلق فرص العمل بالإضافة إلى تحسين النوعية المؤسساتية لتوفير مناخ مناسب لجذب الاستثمار. وهذا ما سيعمل على ضمان الاستقرار الاقتصادي في الجزائر. L’un des problèmes chroniques du développement mondial, qui a fasciné de nombreux chercheurs et mobilisé la communauté universitaire, est le fait que les pays pauvres en ressources se sont développés quatre fois plus rapidement que ceux riches en ressources. En effet, les études empiriques et les recherches académiques ont interprété cet impact négatif de l’exploitation des ressources naturelles en général et pétrolière en particulier sur le développement par le phénomène de « paradoxe de l’abondance » ou « la malédiction des ressources naturelles ». L’objectif de notre thèse est de tester l’hypothèse de paradoxe de l’abondance dans l’économie Algérienne en appliquant les modèles VECM et VAR sur des données annuelles durant la période 1970-2012. Les résultats empiriques démontrent que la procyclicité de la politique budgétaire est dû au médiocre de la qualité institutionnelles, la corruption et la bureaucratie, et que la maladie hollandaise n’existe pas à part quelques symptômes. Aussi, nos résultats confirment que les effets négatifs de la volatilité des prix du pétrole compensent l’impact positif d’un boom pétrolier, par conséquent, nous affirmons que la volatilité, la qualité d’institution inférieure et la corruption ont causé le paradoxe de l’abondance en Algérie, et non pas l’abondance du pétrole en elle-même. La solution réside dans la diversification de l’économie Algérienne par la construction d’un secteur privé dynamique qui contribue à la création de l’emploi et l’amélioration de la qualité des institutions afin d’attirer l’investissement. Cela permettra d’assurer la stabilité économique en Algérie.L’un des problèmes chroniques du développement mondial, qui a fasciné de nombreux chercheurs et mobilisé la communauté universitaire, est le fait que les pays pauvres en ressources se sont développés quatre fois plus rapidement que ceux riches en ressources. En effet, les études empiriques et les recherches académiques ont interprété cet impact négatif de l’exploitation des ressources naturelles en général et pétrolière en particulier sur le développement par le phénomène de « paradoxe de l’abondance » ou « la malédiction des ressources naturelles ». L’objectif de notre thèse est de tester l’hypothèse de paradoxe de l’abondance dans l’économie Algérienne en appliquant les modèles VECM et VAR sur des données annuelles durant la période 1970-2012. Les résultats empiriques démontrent que la procyclicité de la politique budgétaire est dû au médiocre de la qualité institutionnelles, la corruption et la bureaucratie, et que la maladie hollandaise n’existe pas à part quelques symptômes. Aussi, nos résultats confirment que les effets négatifs de la volatilité des prix du pétrole compensent l’impact positif d’un boom pétrolier, par conséquent, nous affirmons que la volatilité, la qualité d’institution inférieure et la corruption ont causé le paradoxe de l’abondance en Algérie, et non pas l’abondance du pétrole en elle-même. La solution réside dans la diversification de l’économie Algérienne par la construction d’un secteur privé dynamique qui contribue à la création de l’emploi et l’amélioration de la qualité des institutions afin d’attirer l’investissement. Cela permettra d’assurer la stabilité économique en Algérie.L’un des problèmes chroniques du développement mondial, qui a fasciné de nombreux chercheurs et mobilisé la communauté universitaire, est le fait que les pays pauvres en ressources se sont développés quatre fois plus rapidement que ceux riches en ressources. En effet, les études empiriques et les recherches académiques ont interprété cet impact négatif de l’exploitation des ressources naturelles en général et pétrolière en particulier sur le développement par le phénomène de « paradoxe de l’abondance » ou « la malédiction des ressources naturelles ». L’objectif de notre thèse est de tester l’hypothèse de paradoxe de l’abondance dans l’économie Algérienne en appliquant les modèles VECM et VAR sur des données annuelles durant la période 1970-2012. Les résultats empiriques démontrent que la procyclicité de la politique budgétaire est dû au médiocre de la qualité institutionnelles, la corruption et la bureaucratie, et que la maladie hollandaise n’existe pas à part quelques symptômes. Aussi, nos résultats confirment que les effets négatifs de la volatilité des prix du pétrole compensent l’impact positif d’un boom pétrolier, par conséquent, nous affirmons que la volatilité, la qualité d’institution inférieure et la corruption ont causé le paradoxe de l’abondance en Algérie, et non pas l’abondance du pétrole en elle-même. La solution réside dans la diversification de l’économie Algérienne par la construction d’un secteur privé dynamique qui contribue à la création de l’emploi et l’amélioration de la qualité des institutions afin d’attirer l’investissement. Cela permettra d’assurer la stabilité économique en Algérie. Paradoxical growth rates and conditions of resource rich countries, is one of the issues challenging scholars in economic development areas. According to empirical evidence, resource rich countries specially oil usually have lower rates of growth compared to resource poor countries. In development economies literature, this paradox is referred to as the « paradox of plenty » also know as the theory of « resource curse ». In this study, we try to test the resource curse hypothesis in Algerian economy applying a VECM and VAR model using annual data over the period 1970-2012. Our results indicate that procyclicity of fiscal policy is a result of the bad institutions and corruption, and that the negative growth effects of oil price volatility offset the positive impact of oil boom, therfore, we argue that oil price volatility and lower institutions quality, rather than oil abundance per se, drives the resource curse paradox in Algeria. Therfore, solutions should be diversify the Algerian economy through the construction of a dynamic private sector which contributes to providing employement opprtunities, and enhance the quality of institutions to attract and stimulate much investment. And this is what will ensure economic statibility in Algeria.