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Titre: Déshydratation aigue de nourrisson
Auteur(s): BAININE, NAIMA
KHELLADI, FAIZA
Mots-clés: nourrisson
Déshydratation aigue
Date de publication: 2010
Editeur: University of Tlemcen
Résumé: Notre étude a fini pour conclure les point s suivants: Nous avons remarqué selon notre étude faite sur 130 cas que la déshydratation aigue est beaucoup plus fréquente chez les garçons que les filles le taux de la déshydratation aigue est presque le même dans les régions et urbains avec une légère prédominance urbain par un pourcentage de 57% les nourrissons qui ont bénéficié d'un allaitement artificiel sont les plus à risque de se déshydrater (avec un pourcentage de 46%), que les autres nourrissons qui ont bénéficié d'un allaitement maternel ou mixte en ce qui concerne le degré de la déshydratation notre à objectiver que le taux d'hospitalisation des déshydratations jugé à 10% est plus important que celle jugé a 5% alors que cette dernière est plus fréquente et elle généralement traiter en ambulatoire Notre étude à bien montré que la cause la plus incriminer c'est GEA avec une fréquence de 73% alors que tout les autres cas rassemblés ne représentent que 27% la déshydratation aigue est plus fréquente en saison chaude (été) à46% et contraire elle mois fréquente en hiver 14% tandis qu'en automne et en printemps sa fréquence reste limiter entre les deux chiffres déjà citer. ' Notre étude a montre que la quasi-totalité des déshydratations aigue été de type extracellulaire avec un pourcentage de 93% La diversification tardive c'est facteur de risque de déshydratation • Notre statistique a montré que sur 130 cas de déshydratation aigue hospitaliser juste 39 cas (30%) Seulement un ionogramme a été fait avant la réhydratation bien que sur ces 30% qui ont bénéficié d'un ionogramme 77%des cas été jugé 10%, à vrai dire comme le révèle le graphe précédant l'ionogramme à été fait beaucoup plus pour les déshydratations jugé a 10% que pour celle jugé à 5%.sur ces 130 cas de déshydratation aigue hospitaliser juste 39 cas (30%) Seulement un ionogramme a été fait avant la réhydratation bien que sur ces 30% qui ont bénéficié d'un ionogramme 77%des cas été jugé 10%, à vrai dire comme le révèle le graphe précédant l'ionogramme à été fait beaucoup plus pour les déshydratations jugé a 10% que pour celle jugé à 5% Nous avons constaté aussi que la fréquence des déshydratations avec une kaliémie normale été plus élevée que celle avec une dyskaliemie bien que le taux de l'hypokaliémie (23%) est à peut prés le même que celle de hyperkaliémie (21%) En conclusion on peut dire que la variation la natrémie est plus précoce que celle de la kaliémie. Alors selon cette étude on conclu que juste 10% des nourrissons avez glycémie normale <0,5g/1 Tandis que 90%restants avez tous une hyperglycémie à noter que une glycémie >àlg/l été observé chez 20% des nourrissons • Une autre étude faite sur les 68 cas ou urémie a été fait à bien montrer que la déshydratation n'a donné lieu au retentissement rénal que chez un quart des cas En fin notre étude regard a été fixée sur l'évolution, ou les statistiques ont montré que seulement chez 4% des cas la déshydratation ont pu être mortelle. • Tandis que %des cas décidé la déshydratation a été survenu sur un terrain déjà compliqué de d'autres pathologies associe
URI/URL: http://dspace.univ-tlemcen.dz/handle/112/5797
Collection(s) :Rapport du Stage Médecine

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