Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : http://dspace1.univ-tlemcen.dz/handle/112/4782
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dc.contributor.authorMouna, Naima-
dc.contributor.authorMokhtari, Ilhem-
dc.contributor.authorKhoudja, Amina-
dc.contributor.authorKelouche, Fatima Zohra-
dc.date.accessioned2014-04-23T10:50:36Z-
dc.date.available2014-04-23T10:50:36Z-
dc.date.issued2010-
dc.identifier.urihttp://dspace.univ-tlemcen.dz/handle/112/4782-
dc.description.abstractMaladie sexuellement transmissible, la plus répandue et la plus meurtrière sur la planète, l'hépatite B affecte 2 milliards d'individus dans le monde. Actuellement, on estime qu'environ 350 millions de personnes atteintes d'hépatite B chronique. Cette maladie, qui est à l'origine de 2 millions de décès par an, représente la deuxième cause de cancer après le tabac. Ces chiffres effrayants peuvent être évités par la vaccination systématique des nouveaunés. 116 pays dont l'Algérie, la Tunisie, le Maroc et la France ont intégré sur la liste des vaccinations le vaccin contre l'hépatite B, ce dernier reste malheureusement hors de portée des pays pauvres où le virus est le plus présent. Un autre virus inquiète encore plus les autorités de santé, c'est l'hépatite C, une maladie qui évolue de façon silencieuse et insidieuse pendant des années avant de s'exprimer sous forme de cirrhose ou de cancer du foie. Selon les estimations de l'OMS, 3% de la population mondiale serait infectée par ce virus. 70% des personnes contaminées développeront une hépatite chronique et seront susceptible d'infecter leurs proches. Le virus de l'hépatite C se transmet principalement par voie sanguine. Jusqu'aux années 90, il s'est propagé par les dons de sang, mais ce problème semble aujourd'hui réglé. En revanche, il faut être extrêmement vigilant sur certaines pratiques à haut risque telles que l'utilisation des seringues à usage multiples, mauvaise stérilisation de matériel d'endoscopie ou de chirurgie (soins dentaires, circoncision...), pratique de tatouage ou du piercing avec du matériel non jetable. En Algérie, Pour optimiser la qualité de prise en charge des malades atteints d'hépatites virales dont le nombre dépasse les 320 000 pour l'hépatite C et environ un million pour d'hépatite B, la caisse nationale des assurés sociaux s'est engagée à rembourser les médicaments des hépatites virales dont le traitement coûte plus de 144 millions de centimes par malade. En plus du coût de traitement, les malades déboursent de leur poche près de 50.000 de dinars pour les frais des examens complémentaires et 50 000 autres pour des examens de suivi. Il convient de noter qu'un budget de 3 milliards de dinars a été alloué pour le dépistage et la prise en charges des hépatites durant l'an 2008. Et pour conclure, il faut mieux prévenir que guérir car la prise en charge des malades coute cher à l'état.en_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherUniversity of Tlemcen-
dc.titleL'Hépatiteen_US
dc.typeThesisen_US
Collection(s) :Rapport du Stage Médecine

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