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dc.contributor.authorMADANI, NOUR EL HOUDA-
dc.contributor.authorMERBOUH, NOUR EL HOUDA-
dc.contributor.authorBOUMEDIENE, LATIFA-
dc.date.accessioned2025-06-17T09:38:38Z-
dc.date.available2025-06-17T09:38:38Z-
dc.date.issued2024-
dc.identifier.urihttp://dspace1.univ-tlemcen.dz/handle/112/25180-
dc.description.abstractA la lumière de notre recherche sur ce thème qui est les infections urinaires, on constater que les infections urinaires sont représentées un véritable problème de santé, elles occupent le second site d’infection après l’arbre respiratoire. Cette recherche nous a permis de mettre en évidence que la fréquence des infections urinaires a été plus importantes chez les femmes que chez les hommes, d’autre part, les personnes âgées et les immunodéprimés sont fortement exposés aux ces infections. Notre recherche a permis d’identifier les principaux germes impliquée dans ce type d’infection, l’épidémiologie bactérienne des infections urinaires reste toujours dominée par les entérobactéries, dont les E. Coli était les principaux germes isolés par un taux de 80 %, suivie par Klebsiella pneumoniae, Enterobacter, Citrobacter, Proteus mirabilis. Pour les Cocci à Gram positives, Entérococcus faecalis est le germe isolé le plus fréquent, ainsi que Streptococcus spp et Staphylococcus aureus. Pseudomonas aeruginosa et d’autres germes sont isolée. Le diagnostic des infections urinaires sont toutes leurs formes commencent le plus souvent par le test aux bandelettes réactives, permettant de déterminer la nécessite ou non de la réalisation de l’examen cytobactériologique. Notre recherche fait apparaitre que les techniques conventionnelles de diagnostic bactériologique, telle que l’examen cytobactériologique, et d’autres travaux plus approfondie basé essentiellement sur une identification biochimique plus précise en utilisant des systèmes miniaturisés, ainsi que d’autres tests supplémentaires. Dans notre étude, E. coli est l'uropathogène prédominant avec un taux de résistance aux antibiotiques très alarmant d’où la nécessité d’une surveillance étroite de l’épidémiologie de la résistance des bactéries aux antibiotiques Enfin, nous concluons qu’une lutte efficace contre ces infections nécessite une stratégie globale de prévention, qui suppose une étroite collaboration entre les épidémiologistes, les cliniciens et les bactériologistes.en_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherUniversity of Tlemcenen_US
dc.titleLES INFECTIONS URINAIRES COMMUNAUTAIRES DE L’ADULTEen_US
dc.typeThesisen_US
Collection(s) :Rapport du Stage Pharmacie

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