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http://dspace1.univ-tlemcen.dz/handle/112/19962
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Élément Dublin Core | Valeur | Langue |
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dc.contributor.author | boutrif, ibtissem | - |
dc.contributor.author | benzazou, nour el houda | - |
dc.date.accessioned | 2023-02-21T09:15:22Z | - |
dc.date.available | 2023-02-21T09:15:22Z | - |
dc.date.issued | 2021-09-27 | - |
dc.identifier.uri | http://dspace.univ-tlemcen.dz/handle/112/19962 | - |
dc.description.abstract | Introduction: La prégabaline est devenu une icône du détournement et du mésusage à l’échelle mondiale et à l’échelle nationale, il existe peu de données épidémiologiques traitant cet abus et aucune stratégie thérapeutique de prise en charge n’a été validée. Objectifs : établir un profil des patients présentant un trouble lié à l’usage de la prégabaline consultant à l’unité d’addictologie-CHU Tlemcen et évaluer les bénéfices apportés par le Prazépam et l’Amitriptyline. Matériels et méthodes: deux études la première, descriptive transversale menée auprès de 50 sujets présentant un trouble lié à l’usage de la prégabaline à l’aide d’un questionnaire collectant des informations liées aux données sociodémographique, les caractéristiques et la prise en charge de l’addiction, parmi eux 20 patients ont adhéré à une deuxième étude interventionnelle randomisée ouverte à deux bras, dont un groupe recevait un antidépresseur sédatif (Amitriptyline LAROXYL® sous forme de solution buvable)tandis que l’autre recevait une benzodiazépine anxiolytique à demi-vie longue (Prazépam LYSANXIA® comprimé de 10mg) durant quinze jours, les critères d’évaluation sont la réduction de la consommation, la sévérité du sevrage (ESS/EOS); l’intensité du craving et l’amélioration de la qualité du sommeil (échelle PSQI). Résultats : notre population a une prédominance masculine (96%) avec une moyenne d’âge de 27.94 ± 8.044 ans dont deux tiers n’ont pas atteint le lycée et 48% étaient en chômage, la dose moyenne consommée de la prégabaline était 1004.54 mg/jour ± 605.019. Le Prazépam et l’Amitriptyline ont apportés un bénéfice sur trois critères d’évaluation sauf le craving avec une supériorité pour le prazépam concernant le sevrage. Conclusion : le Prazépam et l’Amitriptyline constituent des molécules pour la prise en charge des troubles de l’usage de la prégabaline, des études de grandes échelles sont nécessaires pour confirmer la supériorité du prazépam. | en_US |
dc.language.iso | fr | en_US |
dc.title | trouble lié à l'usage de la prégabaline : état des lieux et intérêt du Prazépam versus Amitriptyline dans la prise en charge du sevrage au niveau du service de psychiatrie du CHU Tlemcen | en_US |
dc.type | Thesis | en_US |
Collection(s) : | Rapport du Stage Pharmacie |
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