Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : http://dspace1.univ-tlemcen.dz/handle/112/10829
Affichage complet
Élément Dublin CoreValeurLangue
dc.contributor.authorAffane, Charef Eddine Bachir-
dc.date.accessioned2017-10-25T10:18:17Z-
dc.date.available2017-10-25T10:18:17Z-
dc.date.issued2015-11-25-
dc.identifier.urihttp://dspace.univ-tlemcen.dz/handle/112/10829-
dc.description.abstractChaque pays est caractérisé par son patrimoine culturel, reflet de son évolution historique, artistique, économique et sociale. Chaque civilisation a forgé son patrimoine et c’est celui-là même qui constitue aujourd’hui l’identité de ces civilisations. Cette disposition n’a pas échappé aux hommes politiques qui, dès le début du XIXème siècle, ont investi dans la sauvegarde et la présentation des vestiges, monuments et objets mobiliers considérés comme des moyens permettant de former l’éducation des populations et de construire ou renforcer leur sentiment d’appartenance à une nation.. C’est aussi au XIXème siècle que nait la notion de monuments anciens. Le patrimoine « est constitué d’un ensemble d’éléments matériels et immatériels, d’ordre culturel, chargés de significations multiples à dimension collective, et transmis de génération en génération » Les monuments sont « des éléments naturels et des sites dont la conservation ou la préservation présente, au point de vue artistique, historique, scientifique, légendaire ou pittoresque, un intérêt général » et qui, à ce titre, doivent être conservés, protégés de la destruction en vue de leur transmission aux générations futures. Les monuments sont un « pilier » de ce que nous considérons aujourd'hui comme notre « patrimoine » national. Ils représentent notre histoire, symbolisent notre identité culturelle, et structurent le territoire de nos villes. La notion de réutilisation des monuments est une très ancienne pratique, mais notre regard sur les monuments et leur utilisation à d’autres fins a considérablement changé. Du statut de simples matériaux que l’ont pouvait déplacer au gré de nos besoins, ils ont acquis en soi une véritable valeur qui engendre le respect. En effet, on a accordé du sens au patrimoine architectural en tant que symbole du temps qui passe et vecteur de la mémoire de notre civilisation. De ce fait, les monuments font le lien entre passé, présent et futur en étant toujours réutilisés aujourd’hui. Toute civilisation cherche donc à léguer aux générations futures un héritage nécessitant d’être fructifié par le biais de son intégration dans la vie contemporaine à travers leur réutilisation. Cette notion est devenue une question d’actualité dans le domaine de la sauvegarde et la préservation du patrimoine bâti. L’attribution de fonctions nouvelles aux monuments anciens s’inscrit dans l’objectif de leur mise en valeur afin d’assurer leur survie. La pérennité des monuments est dans leur réutilisation et leur adaptation à la vie contemporaine par le biais de leur intégration dans la dynamique du développement tout en renforçant leur vocation et leur valeur d’usage. C’est dans cette optique que s’inscrit notre travail, à savoir celui de réutiliser un monument ancien de manière à respecter ses valeurs historiques et architecturales. Cette préoccupation a ainsi entrainé la révision du projet de restauration par rapport à la notion de la réutilisation future du monument ancien.en_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherUniversity of Tlemcen-
dc.subjectsauvegarde et préservation, affectation.en_US
dc.subjectpatrimoine culturel, monuments anciens, restauration, notion de réutilisation,en_US
dc.titleLA REUTILISATION DES MONUMENTS ANCIENS : IMPACTES, ENJEUX ET PERSPECTIVES CAS DE LA MOSQUEE SIDI BEL HASSAN ET L’ANCIENNE EGLISE SAINT MICHELen_US
dc.typeThesisen_US
Collection(s) :Magister en Architecture



Tous les documents dans DSpace sont protégés par copyright, avec tous droits réservés.